Deux enfants… et seulement deux bras

J’ai toujours su que si je devenais maman, je voudrais au moins deux enfants, de préférence proches en âge. Quand notre fille Louise-Marie a soufflé sa première bougie et que mon cycle est revenu, alors que j’allaitais encore activement, mon mari Wesley et moi étions ravis à l’idée d’avoir un deuxième bébé. Et quelques mois plus tard, je tenais entre mes mains un test de grossesse positif : une petite sœur pour Louise-Marie, comme nous l’avons découvert à 12 semaines. 

Ma grossesse s’est déroulée sans souci majeur, mais je me suis souvent demandé comment nous allions nous organiser avec un bébé de plus. Louise-Marie était déjà une petite tornade pleine d’énergie et de volonté. Un vrai défi en fin de grossesse ! 

Le 4 juillet 2025, notre deuxième fille, Éléonore, est née après un accouchement naturel sans péridurale une expérience que je voulais absolument vivre. Ce moment m’a profondément touchée. Il m’a révélé une force que je ne me soupçonnais pas. Et avec le recul, je me rends compte que cette même force, ce lâcher-prise et cette persévérance allaient m’être plus utiles que jamais pour la suite : la vie à quatre. 

Les débuts de la maternité, on ne peut jamais vraiment s’y préparer : on y est littéralement plongée. Le passage de rien à un enfant m’a bouleversée. C’est une véritable crise d’identité. On parle de “matrescence” pour décrire les bouleversements profonds qu’une femme traverse lorsqu’elle devient mère. Cette expérience m’a tellement marquée que j’en ai fait un livre : « Moederschapsmijmering », un recueil de 50 poèmes qui explorent les émotions complexes des premiers mois de maternité. 

Si devenir maman a été pour moi une crise d’identité, accueillir un deuxième enfant a surtout été une crise logistique : comment se dédoubler quand les deux ont besoin de vous au même moment ? Comment garder son calme quand il n’y a pas assez de mains, et que tout semble trop ? Quand on passe une heure à changer des couches ? Ou qu’on réalise, le soir venu, qu’on n’a même pas eu le temps de manger ? Comment coucher sa petite fille pendant que le bébé pleure dans les bras de papa, alors qu’on se sent nécessaire à deux endroits à la fois ? 

Tout est une phase, et tout finit par passer. Les beaux moments deviennent des souvenirs à chérir, et les périodes plus intenses finiront un jour en anecdotes tendres. Je le réalise déjà. Mon mari et moi vivons souvent en décalé, parfois on se croise à peine, mais on sait que c’est temporaire. En ce moment, nous posons les bases pour offrir à nos deux filles la plus belle des fondations. 

Il s’est vite avéré qu’Éléonore réagissait de manière très sensible à l’allaitement : coliques, pleurs, inconfort… à chaque fois que je consommais trop de produits laitiers. Après une visite chez notre ostéopathe pour bébé, le diagnostic est tombé : une intolérance aux protéines du lait de vache. Elle m’a conseillé de supprimer les produits laitiers et de privilégier l’eau. 

L’eau de SPA^® s’est vite imposée comme la meilleure option pour Éléonore et pour moi, grâce à sa très faible teneur en minéraux. Adapter mon alimentation m’a demandé un peu d’organisation, mais je l’ai fait avec amour pour lui offrir la meilleure protection dès le tout début. C’était naturel : en tant que mère, on protège instinctivement ce qu’on a de plus précieux.  

Chez SPA^®, ils partagent ce même instinct de protection. Ils veillent à préserver l’eau, les sources et la nature qui les entourent de toute pollution. C’est ainsi que l’eau de SPA^® conserve sa pureté et sa naturalité. 

Aujourd’hui, j’allaite Éléonore à temps plein, et la nuit, nous pratiquons le cododo : le bébé contre moi dans le grand lit, et Louise-Marie dans son lit de petite fille, juste à côté du nôtre. Là encore, tout est question d’équilibre : j’aime pouvoir offrir à Louise-Marie la proximité dont elle a besoin, tout en gardant Éléonore près de moi. Je sais à quelle vitesse tout change. Et en même temps, j’ai parfois hâte de retrouver mon espace, ma place, mon corps, mes pensées… Mais pas tout de suite. Je suis encore dans ma saison de maman et même là, j’ai le droit de fleurir. 

Éléonore a désormais trois mois. Pendant ces semaines, j’ai ri, câliné, consolé et pleuré aussi. J’ai tenu bon, j’ai materné, et parfois je me suis simplement laissée porter. J’ai accepté l’aide de notre magnifique “village” familial. 

Un léger sentiment de culpabilité me revient souvent : est-ce que je donne à chacune l’attention dont elle a besoin ? Mais j’ai appris que seules les mamans investies se posent cette question. Je le sais, et pourtant… il m’arrive de douter. Puis je me rappelle que j’ai offert à mes filles le plus beau des cadeaux : l’une et l’autre.  

Mieux vivre ? Cela passe aussi par mieux boire. SPA^® Reine, par exemple, est l'une des eaux d'Europe les plus pauvres en sels minéraux. Elle convient donc parfaitement pour préparer l’alimentation des bébés. Car notre eau ne modifie pas la composition du lait de votre bébé. Découvrez ici comment cela fonctionne. 

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