Mi-femme, mi-café
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Mi-femme, mi-café. C’est ainsi que se décrit Wendelien. « Une vraie geek du café. » En 2019, elle a été sacrée championne du monde d’un concours AeroPress dans lequel elle a utilisé SPA® Reine. « J’avais emmené toutes sortes d’eaux minérales. J’ai testé de tout, mais j’en suis finalement restée à SPA® Reine. Le café se compose à 99 % d’eau, celle-ci doit donc être de qualité. SPA® permet de préparer un excellent café. J’aime voir comment le monde du café fusionne avec celui de l’eau. »
Pas de poudre de perlimpinpin
Wendelien est convaincue qu’il existe différents niveaux de ‘geek-attitude du café’, en particulier dans le monde AeroPress. « Certains emmènent même de l’eau distillée à laquelle ils ajoutent toutes sortes de poudres. Je suis suffisamment geek pour savoir comment faire, mais les gadgets et la technologie, ce n’est pas mon truc. Je suis un peu plus cool à ce sujet. L’eau de SPA® est très douce et tout simplement parfaite pour le café. C’est pourquoi j’utilise souvent SPA® à la maison. L’eau du robinet est à proscrire dans ce secteur. »
AeroPress est une manière de préparer le café filtre. « Une espèce de niche dans une niche... Les ultra geeks adorent s’en servir. C’est assez peu connu dans le ‘vaste monde’, mais c’est devenu culte dans le monde du café. »
Passion vs compétition
Les concours AeroPress se déroulent avec des éliminatoires. Chacun apporte son propre matériel, mais ne reçoit le café qu’au dernier moment. Tout le monde doit utiliser les mêmes grains de café et préparer une tasse en huit minutes. « J’ai gagné le concours national et j’ai ensuite pu participer au championnat du monde à Londres. Je suis davantage passionnée que compétitrice. Cela doit rester amusant, j’y suis donc allée sans la moindre attente. Le championnat s’est très bien passé et, à un moment donné, j’ai failli manquer d’eau de SPA®. Mon acolyte a vite traversé la rue pour acheter de nouvelles bouteilles. » Wendelien a finalement gagné la finale avec cette recette.
Rencontre décisive
Wendelien est présente sur la scène du café depuis déjà douze ans. « J’ai fait mes études à Utrecht et je n’étais pas habituée au bon café. Le café de ma mère ça allait encore, à la maison j’avais une Senseo et à l’université c’était une infâme bouillie. Le café était vraiment quelque chose qui servait à me réveiller. Avant mes cours, je prenais souvent un espresso à un stand de café. ‘Quel blend voulez-vous ?’, me demandait le barista. ‘Un blend ? C’est un peu exagéré, je veux juste un café’, pensais-je. Mais ce barista débordait tellement d’enthousiasme, même tôt le matin, qu’il a piqué ma curiosité. »
Apprendre à relativiser
Wendelien a été ‘gâtée’ dans le bon sens du terme en ce qui concerne le café. « Je suis évidemment devenue très critique. Et ce n’est pas mon mari qui dira le contraire. Il est officier de police et, à son bureau, le café est à pleurer. Quand il est de garde la nuit, il emmène souvent tout ce qu’il faut pour se préparer un bon kawa. Ses collègues le prennent pour un fou et disent que c’est un snob du café. Mais en réalité, ils veulent aussi en profiter... »
Une chose est sûre, le café a un impact majeur sur la vie de Wendelien. « Je ne supporte pas de préparer un mauvais café, cela me met hors de moi. Puis je rentre à la maison et mon mari me raconte sa journée à la police. Cela me permet de relativiser. Après tout, ce n’est qu’un café... »
