Comment je me suis préparée à mon premier marathon
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Je m’appelle Antje, j’ai 30 ans et en avril, j’ai couru mon tout premier marathon.
Si quelqu’un m’avait dit, il y a quelques années, que je courrais un jour 42,2 km, je ne l’aurais sans doute pas cru. Je courais déjà un peu, mais surtout par plaisir et pour me vider la tête. Des petites sorties, sans objectif particulier.
Puis, à un moment, j’ai ressenti l’envie de progresser. Je me suis d’abord entraînée pour les 10 Miles d’Anvers, puis pour mon premier semi-marathon à Bruges. Franchir la ligne d’arrivée reste pour moi un souvenir incroyable. Courir fait à présent partie de ma vie, cela m’apporte de la structure, de l’énergie et, surtout, énormément de satisfaction.
Quand la ville de Louvain a annoncé qu’elle accueillerait les Championnats d’Europe de marathon, avec un parcours qui passait littéralement devant mon boulot et presque devant chez moi, j’ai su que c’était mon moment. Mais en même temps, je me demandais : « Est-ce que j’en suis capable ? » Finalement, j’ai foncé et je me suis inscrite. Et là, un an avant la course, l’aventure a véritablement commencé.
Tout pour le sport
Quand je me lance dans quelque chose, j’y vais à fond. Et cette fois-là aussi. Mais j’ai vite appris qu’en faire trop peut parfois avoir l’effet inverse. Ma préparation a été un mélange de discipline, de hauts, de bas… et de réajustements constants.
L’entraînement
Je suivais déjà depuis un moment un programme Trenara, mais pour le marathon, j’ai choisi un planning spécifique avec cinq sorties par semaine. J’essayais de suivre chaque séance à la lettre, même si, évidemment, tout n’était pas parfait tous les jours.
Le repos et la récupération
C’est ce qui m’a demandé le plus d’efforts. Je voulais tellement « bien faire » que je suis devenue trop exigeante envers moi-même. J’étais obsédée par la qualité de mon sommeil, j’avais vidé mon agenda social par peur de me coucher trop tard… Une seule mauvaise nuit pouvait me stresser. Jusqu’à ce qu’une amie me demande : « Est-ce que tout ça te rend heureuse ? N’oublie pas de vivre, quand même. » Un vrai électrochoc. J’ai décidé d’être plus indulgente avec moi-même et d’arrêter de me mettre autant de pression. Parce que oui : ça doit rester un plaisir.
L'alimentation
J’ai aussi compris l’importance de manger suffisamment, surtout côté glucides. Sans carburant, le corps ne fait pas grand-chose.
L’hydratation
C’est clairement ce que je sous-estimais le plus : boire suffisamment. Plus mes entraînements s’allongeaient, plus je voyais l’impact que l’hydratation avait sur mon énergie et ma récupération.
Comment je suis passée de ‘j’oublie de boire’ à ‘c’est un réflexe’
Pour être honnête, j’étais du genre à oublier complètement de boire. Même en courant. Mais, en prenant tout cela plus sérieusement, j’ai compris à quel point l’hydratation était essentielle. Alors j’en ai pris l’habitude. Et, aujourd'hui, boire suffisamment est devenu un réflexe. Ce qui m’a vraiment aidé, c’est que j’adore le goût de la SPA® Reine. C’est de loin mon eau préférée.
Voici comment l’eau s’est retrouvée au cœur de ma routine :
- Je démarre chaque journée par un grand verre d’eau.
- Pendant mon run du matin, j’emporte en moyenne 1 litre dans mon gilet d’hydratation. Et, même pour une petite sortie, j’ai toujours une petite soft flask avec moi. J’ajoute parfois des électrolytes, surtout quand il fait chaud.
- Après chaque run, je bois un shake protéiné avec 500 ml d’eau.
- Comme je travaille assise, j’ai toujours une grande bouteille de SPA® sur mon bureau. Une le matin, une autre l’après-midi.
- Au souper, je bois un grand verre d’eau.
- Et je termine la journée avec une tisane.
Le grand jour du marathon
Les dernières semaines avant la course, j’étais plus détendue que jamais. Grâce au changement d’état d’esprit initié par mon amie. Mon « je dois tout faire parfaitement » s’était transformé en « je veux surtout profiter du moment. » Ça m’a libérée d’un poids énorme.
Le 13 avril, je me suis lancée détendue et pleine d’énergie. Il faisait beau, je me sentais forte, tout semblait sous contrôle. À chaque kilomètre, je prenais un petit moment pour faire le point : mon rythme, mon apport énergétique, mon hydratation. Tout roulait.
Je buvais par petites gorgées dans mes soft flasks, comme à l’entraînement. Aux ravitaillements, je prenais de l’eau en plus pour m’arroser et me refroidir. Résultat : aucune baisse de régime, juste du plaisir. J’ai savouré chaque kilomètre. Une expérience incroyable ! Aujourd’hui, je m’entraîne pour mon deuxième marathon et je garde les mêmes habitudes.
Mes astuces pour boire plus
Boire suffisamment semble simple, mais ce n’est pas toujours si évident. Ces petites habitudes m’ont aidée à en faire une routine incontournable :
💧 Commencez la journée par un verre d’eau
On se réveille souvent déshydraté. Un grand verre d’eau, et ça change tout.
🏃♀️ Emportez toujours de l’eau avec vous
Ayez toujours une gourde ou une bouteille sous la main. Et si vous l’oubliez, vous pouvez toujours en acheter en cours de route. Ça fait toute la différence.
🧃 Rendez l’eau plus amusante
Si vous trouvez l’eau plate un peu fade : alternez avec de l’eau pétillante, ajoutez du citron, ou prenez de temps en temps un SPA® Touch.
💻 Ayez toujours une bouteille d’eau sur votre bureau
C’est simple, mais ultra efficace. Fixez-vous un petit objectif : par exemple 1 litre le matin, 1 litre l’après-midi.
🥗 Buvez à chaque repas
Un grand verre d’eau pour accompagner chaque repas, c’est une façon simple de boire plus sans y penser.
🌙 Terminez la journée avec une tisane
Le soir, boire une tisane fait des merveilles pour se détendre et bien terminer la journée. C’est apaisant, et c’est un apport hydrique en plus.
Ce sont de petites habitudes, mais ensemble, elles font une énorme différence.
Que vous prépariez un marathon ou que vous vouliez simplement prendre soin de vous : bien s’hydrater, c’est essentiel. Vous vous sentez plus en forme, vous récupérez plus vite, et vous avez bien plus d’énergie. De petites habitudes pour de grands effets. Et, comme je le dis toujours « Si j’y suis arrivée, vous y arriverez aussi. » Bonne chance ! 😊
Affectueusement,
